vendredi 28 novembre 2008
mardi 25 novembre 2008
photos camilo
vendredi 14 novembre 2008
DAMIEN. Signes
La notion de signe et de point d'ancrage est ici essentielle, pour «créer un point fixe auquel on se raccrochera dans la mouvance de la rue [...] Notre regard neutralise le flot si dense des automobiles au profit d'une carcasse plus haute, plus proche du parallélépipède et d'une autre couleur. »
Pierre Sansot, Poétique de la ville, 2004.
Pierre Sansot, Poétique de la ville, 2004.
jeudi 13 novembre 2008
ROMAIN. Projets.
Jardins ouvriers donc. Recréer de la petite échelle autour de promenades paysagères.
Un cheminement principal liant le futur écoquartier à la nouvelle place du marché, autour duquel se crée un réseau de jardins, dans lesquels viendront prendre place plusieurs interventions:

- Dans les jardins déjà existants, ouverture d'un passage public, pour accéder à un bâtiment à usage mixte: bibliothèque/musée autour des jardins ouvriers, bar/cafétéria/café internet.
- Autour du serpentin, adaptation des seuils d'entrées à la typologie des jardins, serres sur le toit, terrasse/jardins suspendus sur le corps du bâtiment.
- Dans le parc, création de promenades autours des nouveaux jardins, avec des jeux pour les enfants.
- Dans le parc, création d'un batiment pour la coopérative gérant l'usage des jardins / serre/pépiniere...
- (Re)création d'une place de marché pour vendre [entre autres] les fruits et légumes produits dans les jardins.
Un cheminement principal liant le futur écoquartier à la nouvelle place du marché, autour duquel se crée un réseau de jardins, dans lesquels viendront prendre place plusieurs interventions:

- Dans les jardins déjà existants, ouverture d'un passage public, pour accéder à un bâtiment à usage mixte: bibliothèque/musée autour des jardins ouvriers, bar/cafétéria/café internet.
- Autour du serpentin, adaptation des seuils d'entrées à la typologie des jardins, serres sur le toit, terrasse/jardins suspendus sur le corps du bâtiment.
- Dans le parc, création de promenades autours des nouveaux jardins, avec des jeux pour les enfants.
- Dans le parc, création d'un batiment pour la coopérative gérant l'usage des jardins / serre/pépiniere...
- (Re)création d'une place de marché pour vendre [entre autres] les fruits et légumes produits dans les jardins.




::::::::::::::::::::::::::::::::::::: [depuis les jardins vers la place du marché]
ROMAIN. Intentions.
Parlons de développement durable.
La ville doit etre repensée en fonction des objectifs de l'après Kyoto: les fameuses économies d'énergies. D'accord, mais ce n'est pas tout. La durabilité impose de penser les bâtiments dans le temps: sa construction d'abord, mais aussi son entretien.
Or l'expérience prouve que les bailleurs sociaux ne sont pas forcément enclins à assumer l'entretien des immeubles dont ils ont la charge. Et les habitants de se plaindre comme des laissés-pour-compte.
Et l'architecte dans tout ca?
Sa position est paradoxale. Il doit répondre aux exigences du bailleur et à celles des habitants, en créant un cadre de vie agréable avec le moins de fonds possible. Sans parler de ses propres exigences, esthetiques ou sociales.
C'est ce qu'Edgar Morin apelle la complexité: le temps des solutions-miracle est terminé. L'architecte revient de son idéal démiurge pour penser le projet AVEC les acteurs qui y prennent part: urbanistes, paysagistes, ingénieurs, élus locaux, bailleurs MAIS AUSSI les habitants.
TEMPS DE PROJET.
La premier temps du projet est donc une phase d'approche du site, sous forme d'intervention urbaine éphémère. Il s'agit de placer des unités d'obsvervation mobiles tout autour du site, qui favoriseront une émulation entre les habitants des courtillières et le groupe chargé de sa réhabilitation.
Ces modules prendront la forme de containers aménagés dans lesquels des équipes travailleront avec les habitants sur le devenir des Courillières comme pôle d'agriculture urbaine, avec comme projet principal de sensibiliser les habitants à l'idée de jardins ouvriers comme source de production maraichère.

La ville doit etre repensée en fonction des objectifs de l'après Kyoto: les fameuses économies d'énergies. D'accord, mais ce n'est pas tout. La durabilité impose de penser les bâtiments dans le temps: sa construction d'abord, mais aussi son entretien.
Or l'expérience prouve que les bailleurs sociaux ne sont pas forcément enclins à assumer l'entretien des immeubles dont ils ont la charge. Et les habitants de se plaindre comme des laissés-pour-compte.
Et l'architecte dans tout ca?
Sa position est paradoxale. Il doit répondre aux exigences du bailleur et à celles des habitants, en créant un cadre de vie agréable avec le moins de fonds possible. Sans parler de ses propres exigences, esthetiques ou sociales.
C'est ce qu'Edgar Morin apelle la complexité: le temps des solutions-miracle est terminé. L'architecte revient de son idéal démiurge pour penser le projet AVEC les acteurs qui y prennent part: urbanistes, paysagistes, ingénieurs, élus locaux, bailleurs MAIS AUSSI les habitants.
TEMPS DE PROJET.
La premier temps du projet est donc une phase d'approche du site, sous forme d'intervention urbaine éphémère. Il s'agit de placer des unités d'obsvervation mobiles tout autour du site, qui favoriseront une émulation entre les habitants des courtillières et le groupe chargé de sa réhabilitation.
Ces modules prendront la forme de containers aménagés dans lesquels des équipes travailleront avec les habitants sur le devenir des Courillières comme pôle d'agriculture urbaine, avec comme projet principal de sensibiliser les habitants à l'idée de jardins ouvriers comme source de production maraichère.

Inscription à :
Articles (Atom)